L'organisateur ne propose pas de plan des places pour cet événement
Vendredi 22 août - B7L9 Art Center
• 20h30 – Soudeni
(Pop aux racines tunisiennes)
• 21h30 – Nessrine Jabeur x Wael Jabeur – Aurora Live Project
(Fusion d’électro organique et de chant traditionnel)
Soudeni
Son style est une fusion audacieuse de pop, disco, funk, pop onirique et influences arabes et tunisiennes traditionnelles. Ce mélange hybride, à la fois accessible et novateur, reflète sa personnalité libre et son identité culturelle fièrement ancrée. Elle puise son inspiration non seulement dans des genres musicaux variés, mais aussi dans le cinéma, qui façonne son approche narrative et son esthétique visuelle.
Depuis 2020, Soudeni collabore étroitement avec le parolier Terzy, dont l’écriture mêle dialecte tunisien, expressions régionales et arabe classique, apportant à ses chansons une profondeur émotionnelle et une richesse culturelle. Depuis 2021, elle travaille également avec le producteur Issam Azouzi, dont la direction musicale a contribué à forger son identité sonore singulière.
Début 2025, elle a entamé avec Terzy et Issam la création de son premier EP, pensé comme un voyage artistique. À travers ce projet, Soudeni ambitionne de réinventer la musique tunisienne grand public en y apportant un regard audacieux, féminin et contemporain.
Elle incarne une nouvelle génération d’artistes arabes prêts à l’export, qui font le lien entre les cultures et redéfinissent les frontières de la musique arabe.
Nessrine Jabeur x Wael Jabeur – Aurora Live Project (Tunisie)
Et si la voix devenait un instrument ? Avec Aurora, Nessrine Jabeur et le multi-instrumentiste Wael Jabeur repoussent les frontières du chant traditionnel pour plonger l’auditeur dans une transe organique, sensorielle, intensément contemporaine.
Née de textes originaux en dialecte tunisien, cette création électro-cinématique donne corps aux doutes, aux tensions, aux éclats intimes d’une jeunesse en friction avec son époque. Entre racines et chaos, entre oud réinventé et nappes électroniques, Aurora Project explore des zones de collision : entre le sacré et le numérique, le silence et la saturation, le geste ancestral et la technologie live.
Les mélodies sont simples, mais la matière sonore est dense, tissée de textures vocales samplées en direct, d’instruments ethniques manipulés comme des synthétiseurs, de percussions digitales qui battent au rythme du tumulte intérieur. On n’écoute pas Aurora, on le traverse — comme une nuit sans lune, traversée d’éclats.
Une expérience immersive, hybride, frontale.
Linda Lee Hopkins
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